Vous m'avez mal compris, je n'ai pas dit que la rupture conventionnelle devenait obligatoire parce qu'il n'y a pas de conflit puisque déjà les deux parties doivent en accepter le principe...DingDong a écrit :Bonjour !
C'est aussi pour ça que je ne omprends pas ... Il n'y a jamais eu de conflit avec mon employeur même encore maintenant !
L'entretien du 20 s'est déroulé dans le calme, sans haussement de ton de la part de nous deux...
Il est possible qu'il espérait que je démissionne puisqu'il ne me fournissait plus de travail.
En ce qui concerne les autres personnes qui ont acceptées une rupture conventionnelle, apparemment, il n'y avait pas de conflit non plus. Par contre, ensuite, il y a eu des tensions puisqu'elles ont dû signer dans l'urgence du fait de la décision de fermeture de l'agence. Une m'a dit "à la limite, il voulait que je signe tout de suite, lors de l'entretien d'évaluation".
Elles ont signé, elles ont eu 15 jours pour se rétracter et ne l'ont pas fait, chacun voyant midi à sa porte, ça les regarde ... !
Bien que ce collègue m'ait parlé du nombre de conventions signées, des embauches qu'il y a avait eu, des embauches qui étaient prévues, de licenciement économique déguisé, etc. je ne suis pas sûre qu'il soit autant au courant des textes de lois qu'un Conseiller de salarié et qu'il ait le réflexe, si nécessaire, lors de l'entretien du 13 mars, de "rééquilibrer"... Donc, je me dirige vers la liste de l'Inspection du Travail...
Bien cordialement.
Il est possible que l'employeur souhaitait que vous démissionniez mais en tout cas la rupture conventionnelle, comme déjà dit, n'a pas pour vocation de se substituer à un licenciement économique et, en l'occurrence, c'est bien de cela dont il s'agit et ainsi cela lui évite de rechercher un reclassement et de prendre ses responsabilités ainsi que de faire les démarches pour proposer le CSP...