Bonjour voilà j'ai un problème avec mon employeur par rapport a mon congé parental d'éducation à temps partiel je m'explique.
Je suis ambulancier sur le Mans je suis toujours en VSL et je travaille depuis 11 ans dans une société où notre semaine de travail se déroule sur 4 jours avec une journée de repos aléatoire en semaine et le week-end en repos avec 1 samedi sur 3 de travail. Une journée de travail c'est environ 10h00 car on devais faire 39h pour être payé 35h car les pauses repas sont comptés dans le temps de travail.
Nous avons u avec ma femme un premier enfants et j'avoue qu'avec mes horaire je n'ai pas profiter de ses premières années.
A notre seconde enfants j'ai dit à ma femme que je voulais prendre un congé parental d'éducation à temps partiel à 80% pour profiter de mon fils et de ma fille se qu'elle a accepté tout de suite car suis un vrais papa poule.
J'en ai parler à mes 2 patrons Mr L et Mr M qui sont associés, en février 2017 donc 2 mois après la naissance de mon fils et sachant que c'était un moment où on manquais de personnels je leur est dit que je voulais bien attendre un peux le temps d'embaucher ils mont dit merci. Mr M qui gère les papiers me dit qu'il me fera bosser 3 jours par semaine vue que l'on travail sur 4 jours.
Au bout de 2 mois toujours pas de nouvelle j'en reparle a Mr M et il me dit que c'est la comptable qui s'occupe de l'avenant.
2 mois après toujours rien et la quand j'en reparle on me fais comprend qu'ils ont autre chose à faire que de s'en occuper.
J'ai encore attendu 2 mois et comme j'ai vue rouge je leur ai envoyé une lettre recommandé en leur signifiant qu'as partir du 1er septembre 2017 je prenais mon congé parental d’éducation.
Je n'en ai pas entendu parler de la semaine jusqu'au samedi ou Mr M est venu me voir le matin au bureau et ma dit droit dans les yeux je t 'en veux pour le recommandé la je lui dit que cela fessait 6 mois qu'il me prenait pour un con et que je ne voyais pas en quoi je fessais quoi que se soit de mal en plus avec un 80% j’évitais de foutre trop de bazar dans la boîte et il m'as répondu qu'il était hors de question qu'il paye mes collègues en heure supplémentaire à cause de moi.
En septembre lorsque j'ai signé mon avenant Mr M m'as imposé le mardi comme journée de repos je n'ai rien dit mais il devais pas d'abord me demander?
Ensuite de 3 jours de travail je m'aperçois que je vais toujours bosser 4 jours par semaine donc pas plus de repos qu'avant bon je me dit pas grave je ferais des journées de 8h00 (7h00+1h00) en comptent une heure de pause repas se qui est quand même assez dur dans mon métier.
Mais cela ne se passe pas comme sa. La première année de mon congé je trouvais sa drôle enfin les 3-4 premiers mois car bizarrement j'avais 2 heures de pause repas voir jusqu'à 4 heure de pause se qui fessais que si je commençais a 8h00 je finissais pas avant 17h00 impeccable ma fille commence a 9h00 et finissant à 16h00 je n'ai pratiquement jamais pu l'emmener ou chercher ma fille à l'école. J'ai tenue bon sans craqué car à la finale mon amplitude en comptent mes pause repas est toujours 9-10 heure par jours donc résulta néant le congé parental.
Cette été je renouvelle mon congé par recommandé pour la seconde année et je leur demande dans mon courrier de changer de journée de repos comme cela mes permis en expliquant que ma fille n'avais plus d'école le mercredi et que comme aucun roulant n'avais de journée fixe de repos cela ne devrait pas poser de problème. On ma répondu non sans me justifier le refus.
J'en ai pris un gros coup au moral.
Depuis je vais à reculons au taf car je ne vois pas plus mes enfants et je fais des heures complémentaire quasiment chaque semaine sans jamais être prévenu sa m'est imposée comme si c'était normal.
Et début décembre j'ai craqué.
Le premier mercredi Mr M était à la régulation et dans l'après-midi sous les coup de 16h00 il me dit d'aller chercher un patient se que je fais et quand je part avec mon patient je le préviens sans la moindre motivation dans la voix et la il me dit sois heureux ta vie sais ton travail et je lui rétorque sûrement pas ma vie sais ma famille. De la il commence à s'énerver et me dit que de toute façon je suis désagréable à partir d'une certaine se qui est vrais vue que je ne peux pas profiter de mon congé parental d'éducation et me dit si tu as quelque chose à dire de le faire au bureau je lui est dit pas de problème.
Résultat le soir quand j'ai fini vers 18h15 je m'étais dit je reste cool je range mes papiers mes clés et je me casse mais évidemment il a fallu qu'il recommence à gueule.
Il me dit que je lui cassais les couilles à ne jamais être comptent se que je lui rétorque que sais normal vue qu'il me pourri ouvertement mon congé parental d'éducation.
Il me dit que se n'est pas vrais qu'il fais tout pour que je finisse tôt se qui n'est absolument pas vrais.
Puis je lui est demandé pourquoi il ne me donnait pas mes mercredi et il me dit tu vois bien c'est un bordel le mercredi se qui est vrais en général car il met au minimum 3 à 4 collègue en repos tout les mercredi sans compter les 2 filles du bureau et 2 chaque jour de la semaine.
Ensuite il me dit pourquoi toi tu aurais tes mercredi et pas tes collègues. Je lui est répondu que j'étais en congé parental d'éducation et pas eux et j'ai rajouté pourquoi eux on le droit à leur mercredi et moi cela fais 15 mois sans en avoir.
De la sa à dégénérer il m'as dit que lui ne voyais pas sa fille tous les jour en même temps j'y suis pour rien dans sa vie privée, et pour finir par me dire que si j’étais pas content de me cassé.
Le lendemain j'ai été punis et j'ai fais de l'ambulance toute la journée résulta j'ai fais une journée 10h15 de boulot avec 1h de pause donc 11h15. Encore une fois rien à foutre de la légalité normalement je ne dois pas faire plus de 10h00 par jours.
Le vendredi j'ai totalement craqué. Le jeudi soir au bureau on me dit 6h15 guidera en VSL. Lorsque j'ai prix mon service il me restait environs 3h00 à faire donc normalement à 9h00 ma semaine était fini mais comme d'habitude depuis 15 mois ,les heures complémentaires mon été tout simplement imposé.
Vers 8h30 on me dit viens au bureau nettoyer ton VSL j'y vais je commence l'aspirateur et la la régulatrice viens me voir et me dit tu range ton véhicule tu prend une ambulance et tu rejoins un collègue. Elle repart à bureau et la j'ai craqué je me suis mi à pleuré.
Je suis aller prendre les clé personne ne ma rien dit ,puis suis parti rejoindre ma collègue. On fais le transport moi avec une tête à faire peur on dépose la personne et la il appelle ma collègue et je comprend tout de suite que j''allais encore me fais encore baiser. Sa n'as pas manqué transfert des urgences du Mans pour Tours. Résultat arrivé à Tours 12h00. Ensuite on a attendu une 20 min pour nous dire que l 'on repartait sans le patients. M'as collègue appel le bureau pour leur dire et on lui dit de revenir sur le Mans pour qu'elle récupère son VSL qui était sur le Mans et moi de retourner au bureau pour reprendre le mien. J'ai vue rouge j'ai envoyé un texto à ma collègue à la régulation pour savoir se que cela voulais dire et elle ma tel pour me dire qu'elle avait été obligé de prendre un véhicule et que Mr M régulais.
Je retourne au bureau et Mr M me dit avec un sourire tu as fini. Résultat j'ai fini vers 14h00 sans coupure donc au lieu de faire 3h je me suis payé 7h45 de travail dont 4h45 d'heure complémentaire imposé sans respecter la loi.
Résultat de c'est 3 jours ou sa été de la débilité avec le coup du renouvellement j'ai craqué mon médecin ma mi en arrêt pour dépression sans me donné le choix. Je ne sais pas quoi faire j'ai peur de les croisé de retourner dans cette boîte car je sais qu'il vont m'en faire bavé je suis à bout j'ai même envie au travail par moment de me planter tout seul avec le VSL.
S'il vous plais aidé moi je sais plus quoi faire je n'en dort plus je stresse à croire qu'un homme qui veux profiter de ses enfants c'est pas normal que se doit être un fainéant.
Merci d'avance pour votre aide et désolé pour le pavé.
Problème congé parental d’éducation a temps partiel.
Re: Problème congé parental d’éducation a temps partiel.
Bonjour,
Maintenant que l'avenant a été signé en septembre 2017, il me semble difficile de revenir en arrière, d'autant plus que si aucun accord n'est trouvé avec le salarié, c'est l'employeur qui finalement décide de l'organisation du temps partiel dans le cadre du congé parental…
En revanche, l'avenant devrait prévoir la répartition de l'horaire de travail au cours de chaque journée de travail…
Dans l'esprit de l'activité partielle liée au congé parental, l'employeur devrait s'abstenir de vous faire exécuter des heures complémentaires, en tout cas elle ne devrait pas atteindre le temps de travail d'un temps complet…
Je vous conseillerais de vous rapprocher des Représentants du Personnel ou, en absence dans l'entreprise d'une organisation syndicale ou même de l'Inspection du Travail pour envisager un recours devant le Conseil de Prud'Hommes éventuellement en référé si l'employeur ne veut pas mieux respecter vos droits afin d'obtenir des dommages intérêts, dans ce cas je vous conseillerais en plus de vous rapprocher d'un défenseur syndical (liste disponible normalement sur le site de la DIRECCTE de la Région) ou d'un avocat spécialiste... …
Vous pourriez prendre acte de la rupture du contrat de travail au torts de l'employeur mais cela présente le risque que le Conseil de Prud'Hommes l'analyse comme ayant les effets d'une démission plutôt qu'un licenciement sans cause réelle et sérieuse...
Maintenant que l'avenant a été signé en septembre 2017, il me semble difficile de revenir en arrière, d'autant plus que si aucun accord n'est trouvé avec le salarié, c'est l'employeur qui finalement décide de l'organisation du temps partiel dans le cadre du congé parental…
En revanche, l'avenant devrait prévoir la répartition de l'horaire de travail au cours de chaque journée de travail…
Dans l'esprit de l'activité partielle liée au congé parental, l'employeur devrait s'abstenir de vous faire exécuter des heures complémentaires, en tout cas elle ne devrait pas atteindre le temps de travail d'un temps complet…
Je vous conseillerais de vous rapprocher des Représentants du Personnel ou, en absence dans l'entreprise d'une organisation syndicale ou même de l'Inspection du Travail pour envisager un recours devant le Conseil de Prud'Hommes éventuellement en référé si l'employeur ne veut pas mieux respecter vos droits afin d'obtenir des dommages intérêts, dans ce cas je vous conseillerais en plus de vous rapprocher d'un défenseur syndical (liste disponible normalement sur le site de la DIRECCTE de la Région) ou d'un avocat spécialiste... …
Vous pourriez prendre acte de la rupture du contrat de travail au torts de l'employeur mais cela présente le risque que le Conseil de Prud'Hommes l'analyse comme ayant les effets d'une démission plutôt qu'un licenciement sans cause réelle et sérieuse...
Cordialement.
P. M.
P. M.